jeudi 30 décembre 2010

go away 2010

Older but not wiser. It feels like I never learn and keep making the same mistakes over and over. J'ai besoin d'un makeover total, dans tous les aspects de ma vie. On dirait que j'ai rien accompli cette année. À part mon voyage l'été dernier qui a vraiment fait du bien. J'ai besoin de changer d'attitude et de faire plus de choses. Mettre de l'ordre, en commençant par le bordel qui est ma chambre. Arrêter de procrastiner. ouais c'est bon ça. Et être plus spontannée. Vivre plus. D'habitude je ne suis même pas assez motivée pour penser à une bonne résolution, mais on dirait que cette année ça va marcher.

on s'en reparle le 5 janvier...

dimanche 26 décembre 2010

le boxing day c'est nul.

fait numéro 1 : les McCroquettes, c'est bon.

fait numéro 2 : la sauce canneberge festive (nouveauté chez McDonald's) est à chier par terre.

fait numéro 3 : les gens sont fous. Ils virent fous avant Noël, ils virent fous le jour de Noël, et ils virent encore plus fous au Boxing Day. J'en suis témoin.

salut.

mardi 21 décembre 2010

the writers

THE WRITERS ..became the identity for a narrative
inspired by the peripatetic mind of the modern-day nomad.  
 






 The Madly, 
c'est Melanie Dizon et Jake Quellman, duo new-yorkais
collection de sacs pour homme, en cuir

behance.net

samedi 18 décembre 2010

je t'écris

Je t'écris pour te dire que je t'aime
que mon coeur qui voyage tous les jours
— le coeur parti dans la dernière neige
le coeur parti dans les yeux qui passent
le coeur parti dans les ciels d'hypnose —
revient le soir comme une bête atteinte


Qu'es-tu devenue toi comme hier
moi j'ai noir éclaté dans la tête
j'ai l'ennui comme un disque rengaine
J'ai peur d'aller seul de disparaître demain
sans ta vague à mon corps
sans ta voix de mousse humide
c'est ma vie que j'ai mal et ton absence


Le temps saigne
quand donc aurai-je de tes nouvelles
je t'écris pour te dire que je t'aime
que tout finira dans tes amarré
que je t'attends dans la saison de nous deux
qu'un jour mon coeur s'est perdu dans sa peine
que sans toi il ne reviendra plus


Quand nous serons couchés côte à côte
dans la crevasse du temps limoneux
nous reviendrons de nuit parler dans les herbes
au moment que grandit le point d'aube
dans les yeux des bêtes découpées dans la brume
tandis que le printemps liseronne aux fenêtres


Pour ce rendez-vous de notre fin du monde
c'est Avec toi que je veux chanter
sur le seuil des mémoires les morts d'aujourd'hui
eux qui respirent pour nous
les espaces oubliés

lundi 13 décembre 2010

07777 Visiteurs!



J'ai des noeuds dans mes cheveux

Aucune motivation. Zero. J'ai pas envie de lire et d'apprendre.
En fin de semaine je suis allée voir un documentaire. Waste land. Allez le voir c'est bon.
Aussi je me suis fait masser. Il y avait plein de bruits. Entre autres, une sécheuse, le téléphone de la fille qui me massait (elle a répondu), le bavardage des deux ''massothérapeutes'' (je le mets entre guillemets car je crois bien qu'ils n'étaient pas certifiés). Bref on aurait peut-être pu prendre 2 salles séparées ça aurait évité qu'ils jasent pendant 90 minutes. En tout cas, c'était quand même très plaisant.
Je sens que ma mèche est maintenant très courte. Peut-être 2-3 cm avant qu'elle s'éteigne.
Le début de la fin de semaine était vraiment moche culinairement parlant (red lobster, bouffe de chalet de montage de ski), mais le tout a chaviré samedi soir. Et être dans un bar a Toronto lors d'un match du CH et voir qu'il y a plus de gens qui portent des chandails du canadien que des leafs = génial. Dommage qu'ils ont perdus. Ouais donc côtelette de porc avec sauce au rhum et beurre avec pommes grillées et purée de pommes de terre douces. Puis le lendemain vietnamien, gaufre au chocolat avec fruits et crème glacée et souper communautaire où j'ai mangé le rôti de porc le plus salé et délicieux au monde. avec tarte au bananes. Voir ici pour recette: Banoffee pie J'ai trouvé plusieurs variations, mais ceci ressemble le plus à ce que j'ai mangé.
Je déteste la pluie.
Aujourd'hui quand je me suis réveillée lors de l'atterrissage, j'ai eu un moment de panique car je croyais avoir pris le mauvais avion. Dommage que ce n'était pas le cas.

jeudi 9 décembre 2010

histoire de parking III : la vieille folle.

Bon. On pourrait dire que je suis légèrement susceptible aujourd'hui, mais on pourrait également dire que les gens sont fous.

Fait numéro 1 : j'adore et me considère comme une professionnelle du shopping, tsé avec une manière efficace de ne pas revenir deux fois au même point dans un centre commercial et mon balayage-du-regard-avec-un-air-désinvolte en 10 secondes. Fait numéro 2 : JE DÉTESTE LE MAGASINAGE DANS LE TEMPS DES FÊTES. Les gens virent fous. Ils paniquent. Ils se disent mon dieu on est déjà le 9 décembre et je n'ai pas encore acheté tous les cadeaux. Mon dieu je dois absolument me rendre au magasin un jeudi midi pour terminer ma liste. Mon dieu je n'ai rien d'autre à faire un jeudi midi. Mon dieu mon dieu mon dieu.

Euh allo, moi je suis en session d'examen, et vous? 

Exemple. Moi, pénarde je me cherche du parking au Mail Champlain (très 450 oui je sais). Une vieille folle, et j'insiste sur folle, se stationne dans une place pas vraiment considérée comme une place et sort de son auto. Moi pénarde je cherche encore. Madame, d'un regard nerveux trouve une autre place devant moi. Moi encore pénarde tourne en rond. Madame en panique, rentre dans son auto, démarre son auto, recule en vitesse son auto, me coupe avec son auto, et prend la 2ème place de parking. Moi pénarde, je n'en voulais pas de cette ?%$!*&#! de place. Madame semi-paniquée, semi-triomphante, se félicite de cette manoeuvre en jetant un de ces regards sur ma personne. Et moi dans mon auto, je finis par bouilloner et j'insulte la madame.

MAIS T'ES QUI TOI?! JE N'EN VOULAIS PAS DE TA PLACE, DEVANT LE LA BAIE, QU'EST-CE QUE TU VOULAIS QUE JE FASSE DEVANT LE LA BAIE? M'ACHETER DES CHAUSSETTES?

Non mais, un peu de classe svp! J'aurai pu me dire : "bah soyons gentille et sourions à la madame et faisons lui comprendre qu'elle peut prendre sa foutue de place d'un geste de la main". Ben non. Je lui ai fait une face bête comme dans &?%*@?(&)$@! (je n'oserai pas répéter les obscénités qui sont passées par ma tête). Vieille folle. Étouffe-toi donc avec tes chaussettes de chez La Baie, tiens.

Et en plus, mon ipod touch est mort comme dans je ne sais pas comment le faire revenir en vie, et je ne peux pas jouer à angry bird ni à ma planète. Et puis, j'ai fini la saison 2 de Mad Men :( Mon Dieu que ma vie est terrible!! Haha

En attendant je suis allée sur le site de la série télévisée, et me suis amusée à faire des bonhommes. J'aime ben ça.

mercredi 8 décembre 2010

I know you told me break their hearts. But it's you I wanna take apart.

2:31am on a wednesday

If you don't give a damn, we don't give a fuck. Hey

Youngbloodz was right all along. it's just so simple.

Your whole life is one large transient moment. Gradual, defined not by one significant moment, but thousands (if you're lucky millions) of little moments. But there has to be one moment where something clicks, and after that one fraction of a second, there's a change. Even though it's infinitely small, that very brief period of time exists, and regardless of how insignificant that change may be, you are not the same.
So what happens? You take an event,a starting point, then progress by establishing certain emotions, thoughts. You make connections. Relationships and memories start to simmer and mature into something significant, whether it solely to you, it doesn't matter. Regardless, you compile information both factual and interpreted to create a situation, a piece of your life. It can take days, weeks or even decades. Sometimes it develops into something great, and sometimes it degenerates.
But how is it that two seemingly identical situations can produce two totally different outcomes depending on the person affected by it? After all, people deal differently with breakups, death, loss or failure even though the situations are practically the same. Granted that no two situations are identical, is our reaction and how we deal with a darker moment of our life based uniquely on our character and on how ''strong'' or smart we are?
At what point does someone who is unhappy in a situation decide that he or she has had enough? What about the person that decides to let things run their course? There has to be an event that marks the end. A point of no return after which they are free.
And after you experience a loss, what happens between stages 6 and 7 of the grieving process? After you've made your way through the shock and denial, pain and guilt, bargaining, depression and loneliness, adjustment and reconstruction of your life, what happens before the acceptance and hope? If they are defined, there has to be an element at which point you switch from one stages to the next. Is that element identifiable? If you were able to know what it was, would you want to in order to make the process go faster? To escape the emotional turmoil?

At what point do you stop remembering how much it hurt?
And what happens if you never forget?

samedi 4 décembre 2010

Tuck Shop

Un resto dans le milieu de nul part, dans un coin de la ville plutôt désert.
Le propriétaire est l'ami du fêté, donc on s'est fait gâter.
Huitres et pétoncles avec sauces cocktail et oignon, vin et vinaigre balsamique, crevettes grillées avec salade de coriande, un morceau de porc salé et impossiblement tendre, cuisses de cailles ou autre petit poulet (il y avait tellement de bouffe, c'est difficile de se rappeler de tout!), la plus délicieuse des salade césar, osso bucco avec risotto, poisson grillé et comme dessert, crème brûlée avec framboises et tarte au pomme que la mère du proprio a préparée.
La nourriture était incroyable. Je n'ai jamais aussi bien mangé. On applaudissait la nourriture lorsqu'elle arrivait.
Quand on est arrivé vers 9h, la place était pleine à craquée. Le décor est chaleureux. Des pots massons remplis de sauce tomate longent le mur.
Un vrai bijou.

Tuck Shop
4662 Rue Notre-Dame Ouest
Montreal, QC H4C 1S6
(514) 439-7432

jeudi 2 décembre 2010

Dr. S vante son nouveau microscope

Elles font du sex les bactéries, les cochonnes... - dr. S.

En parlant de la plaque dentaire.
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